Ajout d'une muniterie à l'eclairage domestique

introduction

Au début du XXIe siècle, nous assistons à des changements considérables dans le secteur des technologies de l'information, tant en termes d'applications et d'utilisation qu'en termes de technologie. On remarque l'invasion de l'électronique dans plusieurs secteurs tels que:

Le secteur des télécommunications

Le secteur de l'industrie robotique.

 Le domaine du vol et de l'espace Gestion de l'énergie et confort

Les thèmes développés couvrent à la fois des études visant à améliorer les technologies actuelles, poussant la technologie à sa limite ultime, et des études qui préparent l'électronique de demain, avec des matériaux et des concepts innovants.

Le schéma proposé est basé sur l'introduction d'une minuterie avec un éclairage simple; Lorsque l'ampoule est allumée, une minuterie se met en marche pendant le cycle et compte le temps de fonctionnement, le temps de fonctionnement de contrôle de l'utilisateur avec une résistance réglable. la minuterie est équipée d'un dispositif d'avertissement de fin de cycle pour avertir son utilisateur que l'allumage de l'ampoule arrive à son terme et éviter l'existence dans l'obscurité.

Mode de fonctionnement

Obtention d'une alimentation continue de la source     

 Lorsque le récepteur est alimenté, la résistance de faible valeur R1 est insérée dans son circuit d'alimentation. Si P est la puissance du récepteur, l'intensité effective passant par cette résistance est déduite au moyen de la relation: I = P / 230v Le résultat est un potentiel alternatif "u" à R1. Ce potentiel est égal à U (V) = R1 * I (A), ou I = P / 230v. Dans le cas présent, pour une valeur de R1 = 10 Ω Et une puissance P de valeur 100 w; U = 4,35v La puissance "p" dégagée par R1 peut être déduite par la relation p = 10 * 100² / 230². Cette puissance est égale à 1,9W, nous conserverons une résistance de puissance de 100W

Le rôle importateur d'un pont rectifie les deux alternances de ce potentiel.      La capacité C1 effectue le filtrage. Il en résulte un potentiel continu de l'ordre de 4,5v sur l'armature positive de cette capacité qui constitue l'alimentation de l'ensemble. On notera que cette alimentation n'existe que lorsque le récepteur est lui-même alimenté. sinon, la fraction du potentiel exploité est insignifiante: elle est en effet inférieure à 2%

Le tableau ci-contre montre les valeurs de la résistance de puissance en fonction de la puissance du récepteur.

c	R1(Ω )	P(W)
75	12	2
100	10	3
150	6,8	3
200	5,1	5
300	3,3	10
400	2,7	10
500	2,2	15

Minuterie de fonction

En appuyant sur le bouton-poussoir BP, le récepteur est alimenté.

Le résultat est immédiatement l'apparition du potentiel de 4,5v sur l'armature positive de C1. Ce condensateur sert à maintenir la continuité d'alimentation du récepteur même lorsque le bouton poussoir BP est relâché au moyen d'un dispositif de comptage IC2 qui est un circuit intégré CD4040 à 11 étages binaires

Muniteur
Le circuit U2 est en effet un oscillateur astable amont dont la période de l'onde squre qu'il délivre sur la broche 3 est déterminée par la relation: t (s) = 2,2 * A (Ω) * C3 (F) En fonction de la position angulaire du A réglable, cette période peut donc varier de 0 à 100 millisecondes à condition que l'entrée de réinitialisation soit toujours à l'état bas. Au moment de l'apparition du potentiel d'alimentation, le condensateur C5 se charge rapidement à travers R4. Il en résulte un court état haut à l'entrée du compteur CD4040, qui met toutes les sorties Qi à un état bas, puis le compteur démarre

Fin du chronométrage

Les niveaux logiques des compteurs évoluent selon le principe du comptage binaire.

La sortie Q11 du compteur passe à un niveau élevé après 2 à la puissance 11, soit 2048 créneaux de comptage élémentaires. La sortie de la grille U9: C passe à l'état bas, tandis que la sortie de la grille U9: D a un état haut, ce qui bloque le transistor Q1 de type pnp. La conduction du triac dans le circuit MOC 2130 n'est plus assurée et le récepteur s'éteint. Le potentiel 4,5 v disparaît progressivement du fait de la décharge de C1.

Si la position du curseur du A réglable est placée au milieu le retard est déduit par la relation suivante: 50 mil * 2048 = 102 secondes, soit 1 minute et 42 secondes

Si le curseur est placé à la position maximale, la temporisation devient 100 mil * 2048 = 204 secondes, soit 3 minutes et 24 secondes.

Avis d'extinction

Les sorties Q6, Q9 et Q10 sont connectées à la cathode de trois diodes D8 à D10 dont les anodes communes sont connectées au "+" de l'alimentation via la résistance R6. Au point commun des anodes, il y a généralement un état bas. Lorsque ces 3 sorties présentent simultanément un état haut en un instant, Le compteur aura avancé 1600 pas élémentaires calculés comme suit (2 puissance 10) + (2 puissance 9) + (2 puissance 6). À ce stade, le point commun des anodes passe à l'état haut, ce qui provoque le début de la bascule monostable formée par les portes NOR U9A: et U9B: La sortie de ce dernier a alors un état haut court de l'ordre de 50 millisecondes

Le transistor Q1 est bloqué pendant cette période, l'ampoule cesse alors d'être alimentée temporairement, mais cette durée n'est pas faible pour ne pas disparaître de l'alimentation de 4,5 V présente à C1. Un bref clignotement de l'ampoule sera observé, ce qui avertira l'utilisateur que la minuterie tire à sa fin. En réalité le clignotement de l'ampoule commence à partir de 1600 slots élémentaires jusqu'à 2048, soit 80% du retard. A partir de ce moment les signaux d'avertissement se produisent au rythme du passage successif de Q6 à l'état haut, c'est-à-dire l'ensemble des 64 comptes à partir de 1600 slots. Si l'on considère que le curseur de l'ajustable est en position médiane ce qui correspond à une période de 50 millisecondes et si Q6 passe à la hauteur toutes les 64 périodes élémentaires, il en résulte que la période correspondant au clignotement est déduite par la relation T clignotement = (période élémentaire * 64) 50 mil * 64 = 3200 = 3 secondes et 200 millisecondes.

Schéma électronique

Le schéma est réalisé à l'aide du proteus 7; Un logiciel de saisie de schéma électronique comprenant ISIS 7 professionnel qui permet la simulation de l'assemblage et ARES7 professionnel qui permet la disposition des composants électroniques pour le routage et la construction des typons afin de construire les cartes électroniques "PCB".

Diagramme établi sur ISIS7 professionnel

 Schema du circuit sur ARES

Vue du PCB en3 D